• Notre époque est traversée par des crises multiples

    La société subit actuellement toute une série de crises économiques, écologiques, sociales, culturelles, et politiques. Les partis politiques candidats à l’élection sont soit incapables de reconnaître ces problèmes, soit incapables de formuler des solutions réellement efficaces, soit incapables de les mettre en pratique. Pourtant, des solutions existent. Encore faut-il comprendre les causes du problème et être prêts à opérer les changements qui s’imposent.

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  • Il est clair que les partis politiques qui présenteront des candidats à la présidentielle ne seront pas en mesure d’apporter des réponses satisfaisantes aux enjeux de notre époque. Autant les politiques menées au niveau de l’Etat ne peuvent avoir d’impact réel si elles ne sont pas menées de manière coordonnée avec celles d’autres Etats ; autant les hommes politiques les plus à même de gagner les élections participent de réseaux d’intérêts, et plus largement sont agents les exécutants d’une classe dont les intérêts divergent avec les nécessités de notre époque ; autant les décisions sociales sont dictées par des dynamiques économiques qui lui sont extérieures et s’imposent à elles. La réponse ne pourra venir que d’en bas, de la capacité de la société à s’organiser indépendamment du politique et de ses institutions.

    Notre époque est traversée par des crises multiples

    La société subit actuellement toute une série de crises économiques, écologiques, sociales, culturelles, et politiques. Les partis politiques candidats à l’élection sont soit incapables de reconnaître ces problèmes, soit incapables de formuler des solutions réellement efficaces, soit incapables de les mettre en pratique. Pourtant, des solutions existent. Encore faut-il comprendre les causes du problème et être prêts à opérer les changements qui s’imposent.

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  • Le citoyennisme propose en général un recyclage des recettes passées, qui ni à la hauteur de la crise que rencontre le capitalisme, ni satisfaisant politiquement, ne promettant qu’une meilleure gestion du capitalisme.

    Le citoyennisme est une nébuleuse, un mouvement épars, sans programme cohérent, mais reprenant et mélangeant les analyses et propositions d’auteurs altercapitalistes médiatisés. Pour autant, ces auteurs nous conduisent dans l’impasse pour en finir avec les crises et les inégalités.

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  • Les prévisions d'Oxford seraient crédibles si les études prenaient en compte les dynamiques des crises systémiques du Capital.

    -En 2013, deux chercheurs d'Oxford estimaient dans une étude que l'automatisation présentait un risque pour 47 % des emplois, soit un taux de chômage de plus de 50%.

    -En 2016, une étude de l'OCDE affichait une estimation moins pessimiste, rabaissant ce chiffre à 9%. La raison principale de cette estimation rabaissée consistait dans le fait que l’étude d’Oxford ne prenait en compte que les branches de métiers et non les tâches réalisées et de leur évolution, ainsi que la création de nouveaux emplois. Cependant, il ne s’agit pas pour autant d’un constat rassurant. L'automatisation de 9 % des emplois signifierait quelques 2 millions de chômeurs supplémentaires, soit un taux de chômage de 17%.

    -Une récente étude réalisée par France Stratégie (d’après Dares-Drees-DGAFP-Insee, enquêtes Conditions de travail), aux analyses et conclusions proches de la précédente, estimait quant à elle la destruction d'emploi à 15%. Avec une telle destruction d'emploi, on aurait 3 à 4 millions de chômeurs supplémentaires, soit un taux de chômage de 25%.

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  • Encore un très bon article de Benoît Bohy-Bunel, sur le capitalisme et ses crises, la critique du Keynésiannisme et du Néo-Libéralisme.

    [pdf] CRISES DU CAPITALISME

    Sommaire :

    1° Profit et plus-value

    2° Approfondissements post-lukàcsiens : capital productif, capital fictif

    2°. 1. Les mécanismes de la crise

    2°. 2. Formule de la circulation du capital fictif dans l’économie dite « réelle »

    3° Le délire consistant à vouloir « préserver « l’économie dite « réelle »

    Note : à propos de la baisse tendancielle du taux de profit « réel »

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