• Sur le sens du terme libertaire dans le Communisme Libertaire

    La dimension Libertaire constitue l’articulation entre l’anti-autoritarisme, c'est-à-dire le refus radical de toutes les formes d’autorité – en premier lieu contre les formes instituées (Gouvernement, hiérarchies formelles dans la sphère du travail, les organisations politiques, et celles dans la sphère privée, comme le patriarcat), mais aussi plus informelles – et les aspirations à une certaine forme d’égalité non homogénéisante, qui laisse de la place à la diversité. Les Libertaires luttent pour l’émancipation individuelle et collective, sur les plans socioculturels, politique, socioéconomique, éducatif, et dans une moindre mesure, technoscientifique.

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  • Très intéressant article au sujet du Municipalisme Libertaire de Murray Bookchin, et de ce qui le différencie du Communalisme Libertaire. Paul Boino, de la Fédération Anarchiste, y pointe notamment les limites, en termes d'analyses, du projet de Bookchin.

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  • Voici quelques liens pour découvrir et comprendre ce qu'est le Communisme Libertaire, également appelé Anarcho-Communisme :

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  • Pour comprendre ce qu’est la décroissance, il est d’abord nécessaire de parler du concept de croissance. La croissance est estimée en fonction de l’augmentation du PIB. Il s’agit d’une notion essentiellement monétaire. Elle contient en elle l’idée que l’accroissement monétaire constitue un indice de bien être, et que l’économie, les échanges marchands, sont au centre de l’existence.

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  • Réflexion sur l’imaginaire politique de John Holloway à partir de son champ conceptuel du pouvoir

    A travers l’ouvrage Changer le monde sans prendre le pouvoir, (paru en Anglais en 2002 et traduit en Français en 2008), et un article plus court intitulé « Douze thèses sur l’Anti-Pouvoir », John Holloway défend, contre les approches classiques de l’opposition politique consistant simplement à conquérir l’appareil d’Etat, la perspective d’une transformation sociale par en bas, s’appuyant sur la restauration de capacité d’action de ceux qui s’opposent au capitalisme. S’appuyant sur les réalisations concrètes du mouvement Zapatiste dans le Chiapas, Holloway s’inscrit au carrefour de plusieurs traditions politiques, dont l’Anarchisme, le Communisme Libertaire, le Conseillisme, et intellectuelles, comme l’école de Frankfort et le post structuralisme néo-spinoziste. En cela, Holloway apporte une contribution à la critique sociale qui mérite qu’on s’y intéresse et contribue à alimenter un débat qu’il est important de poursuivre. Pour continuer à faire vivre ce débat, nous commencerons, dans le présent article, par présenter la vision du pouvoir d’Holloway, qu’il s’agira ensuite d’analyser, de critiquer, éventuellement de reformuler.

     

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