• Décroissance Communiste Libertaire

    Décroissance Communiste Libertaire

    Articles prémisses à la décroissance communiste libertaire :
    Marche mondiale contre le climat : encore un effort !
    Ecosocialisme ou DCL ?
    Qu'est-ce que la Décroissance ?
    Consommation et Marchandisation
    Antiproductivisme ?
    Société Industrielle
    Ecologie et santé
    Bilan Carbone
    Actualité de la Décroissance Communiste Libertaire 2021

     

    Ici sont regroupées les publications du groupe DCL :

     

    Pour une Décroissance Communiste Libertaire 

    (Version 22/07/2014)

    Pour une Décroissance Communiste Libertaire.pdf

    Avant propos

    Chapitre I - De quoi "ecosocialisme" est-il le nom ?

    Chapitre II - Abandonner l'éco-logie

    Chapitre III - Apports et limites des Objecteurs de croissance et des Décroissants

    Chapitre IV - Premiers pas vers une Décroissance Communiste Libertaire

    Chapitre V - Considérations Stratégiques

     

    Fiche  synthèse décroissance (provisoire) :

    Cette fiche de présentation résume, de manière très synthétique, les grandes lignes du projet de Décroissance Communiste Libertaire:

    (Version au 14/01/2015)

    DCL_fiche synthèse_décroissance.pdf

    Bref rappel sur le Communisme Libertaire p2

    1 L’écologie contemporaine : 4 grands scénarios, 1 vraie solution p3

    2 La Décroissance, quelle décroissance ? p5

    3 La Décroissance Soutenable et les impératifs de transformation de la société p9

    4 La question des sciences p15

    5 Décroissance et lutte de classes p18

    6 Une démarche non-répressive et autonomisante p22

    Conclusion : ce que nous avons à gagner d’une Décroissance Communiste Libertaire Soutenable p25

    Stratégie Communiste Libertaire concernant la Décroissance p26 

    Dossier COP 21

    COP 21 - En avant pour le climat !

    L'impasse économique de la croissance verte

    « COP 21_l'impasse économique de la croissance verte.pdf »

    La Décroissance Communiste Libertaire face aux autres propositions écologistes

    « La Décroissance Communiste Libertaire face aux autres propositions écologistes.pdf »

    17/06/2015

    Pourquoi la Décroissance Communiste Libertaire ?

    « Pourquoi la Décroissance Communiste Libertaire.pdf »

    16/06/2015

    Stratégie pour la décroissance : lobbying citoyen, simplicité volontaire ou syndicalisme révolutionnaire ?

    « Stratégie pour la décroissance_lobbying citoyen simplicité volontaire ou syndicalisme révolutionnaire.pdf »

    01/09/2015

    Economie et écologie : à la croisée des crises - Critique de la valeur et critique de la croissance

    Economie et écologie : à la croisée des crises - Critique de la valeur et critique de la croissance

    29/04/2016

    Actualité de la Décroissance Communiste Libertaire 2021

    Actualité de la Décroissance Communiste Libertaire 2021

    20/09/2021

  • Les convergences entre décroissance et démocratie libertaire ont été traitées depuis de nombreuses années. Mais, à cette synthèse, il manque encore une analyse systémique de l’économie marchande-capitaliste, des causes de la crise et des conditions de l’émancipation. C’est pourtant à partir de l’analyse des interactions entre écologique et économie qu’il sera possible de déduire les bases d’une société libre, biologiquement soutenable, et capable de satisfaire les besoins tant individuels que collectifs.

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  • Ecosocialisme Democratique ou Décroissance Communiste Libertaire ?

    L’Ecosocialisme est une approche politique défendue par le Nouveau Parti Anticapitaliste (NPA), par le mouvement « Ensemble – Mouvement pour une alternative de gauche, écologiste et solidaire », mais aussi récemment reprise par le Parti de Gauche (PG).

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  • Pour comprendre ce qu’est la décroissance, il est d’abord nécessaire de parler du concept de croissance. La croissance est estimée en fonction de l’augmentation du PIB. Il s’agit d’une notion essentiellement monétaire. Elle contient en elle l’idée que l’accroissement monétaire constitue un indice de bien être, et que l’économie, les échanges marchands, sont au centre de l’existence.

    Or il est aisé de constaté que la croissance monétaire ne constitue pas un indice valable pour évaluer le bien vivre, le bien être. D’une part parce que la quantité ne suffit pas au bien être, n’efface pas certaines souffrances. D’autre part parce qu’au sein des pays économiquement dominants, il existe de fortes inégalités en matière de revenus, d’accès à l’éducation, aux soins, aux dispositifs de droits commun (sans compter l’inégalité produite au niveau international, du fait que dans certains pays, les gens n’ont que difficilement accès aux ressources élémentaires : eau, alimentation). La croissance est par conséquent génératrice de fortes inégalités. De plus, du fait de la situation de course à la richesse qu’elle impose, dans le cadre de la concurrence capitaliste, elle ne se donne aucune limite du point de vue écologique. Ainsi, elle constitue une des composantes génératrice des désastres écologiques que nous connaissons aujourd’hui et des menaces qui se profilent à l’avenir. Enfin, la croissance est la croissance du pouvoir économique et politique sur la vie. Elle dépossède les populations de leurs ressources, de leurs savoirs faire et de leur pouvoir de décision sur la production de leur vie.

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  • FAUT-IL LUTTER CONTRE LE PRODUCTIVISME ?

    REFLEXION SUR LES CONCEPTS DE LA PRODUCTION ET LEURS ENJEUX SOCIAUX ET POLITIQUES

     

    I INTRODUCTION

    Il apparaît important, au regard de la crise écologique et de la reconnaissance des limites naturelles de la planète, de s’interroger sur la place occupée par les activités de production dans les sociétés industrielles technologiquement avancées. Cette interrogation, soulevée par les mouvements écologistes depuis plus de 50 ans, entretient néanmoins certaines confusions, qu’il conviendrait de clarifier. La première est celle définie dans l’article « Société de Consommation ou Société Marchande ? », qui consiste à développer une critique de la consommation ou une critique de la dynamique marchande. La seconde, figurant dans la conclusion du même article, consiste dans une réflexion sur le rapport que nous entretenons avec la nature et ses conséquences. Elle repose sur les implications du choix d’une une vision anthropocentrique et utilitariste, ou d’une vision interactionniste et partenariale (Marcuse, Kovel). La troisième confusion entretenue dans la critique écologiste, qui sera développée dans cet article, concerne ce que l’on nomme généralement la « critique du productivisme ». Il apparaît en effet que la confusion dans les termes employés dans ce débat n’aide pas toujours ses participants à discerner les enjeux et les conséquences politiques qui le structurent. Cet article aura donc pour objectif d’aborder plus en détail le langage et les concepts utilisés pour aborder la problématique de la production et ses limites, pour ensuite replacer la manière dont ces termes se composent et s’inscrivent dans des visions et des projets politiques sensiblement différents, et parfois totalement contradictoires.

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  • Quelle critique de la société industrielle ?

    I QU’EST-CE QUE L’INDUSTRIE ?

    Le terme d’ « industrie » désigne les activités qui ont pour fin la transformation des matières premières en biens de consommation par le moyen de divers sources d’énergie (humaine, animale, électrique, thermique, hydraulique, éolienne).

    Outre les évolutions techniques de l’industrie, comme la mécanisation, la programmation et l’automatisation, on constate plusieurs phases dans l’organisation du travail : le Taylorisme, qui consiste dans l’Organisation Scientifique du Travail(OST), et permet des gains de productivité ; le Fordisme, consistant pour sa part dans la production en série, et impliquant des économies d’échelle, c'est-à-dire une diminution des coûts de production à l’unité par l’organisation centralisée de la production de masse. Notons aussi certaines innovations managériales comme la rotation des taches, la participation des salariés, sous forme de suggestions, à certains aménagements de poste, à des stratégies d’entreprise. L’industrie, outre les critères de bases définis précédemment : productivité, usage de machines, production en série, est capable d’évoluer tant au niveau technique, en fonction du développement de la recherche, de la science et de ses applications, qu’au niveau de son organisation sociale.

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